Présentation de l'oeuvre

 

La Fille de Madame Angot

 

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Compositeur
Charles Lecocq 1832 - 1918
Livret
Clairville, Paul Siraudin et Victor Koning
Genre
Opéra-comique en 3 actes
Création
A Bruxelles au Théâtre des Fantaisies Parisiennes le 4 décembre 1872
Personnages Larivaudière (baryton) / Pomponnet (ténor) / Ange Pitou (baryton) / Mlle Lange (mezzo-soprano) /  Clairette Angot (soprano) / Babet (alto) / Trénitz (ténor) /  Louchard (basse) /  Mlles Ducoudray, Cydalise, Herbelin et Delaunay (choristes) /  Cadet (ténor) / Guillaume (ténor) / Buteux (basse) / Amaranthe (soprano) / Javotte (soprano) / Thérèse (soprano)

Histoire



 

Acte I


Clairette, fille de la célèbre Mme Angot et élevée par les Dames de la Halle, doit se marier avec Pomponnet, le perruquier qui est amoureux d’elle. Mais Clairette n’est pas insensible au charme d’Ange Pitou, un chansonnier qui a l’habitude d’aller en prison pour les chansons qu’il écrit. Elle vient le rejoindre en cachette et essaie de trouver un moyen pour que le mariage n’ait pas lieu. Arrivent le financier Larivaudière et le policier Louchard. Ces derniers voudraient s’opposer à la divulgation par Ange Pitou de la liaison de Larivaudière avec Mlle Lange, elle-même favorite officielle du Directeur Barras. Larivaudière arrive à monnayer une substitution de nom auprès de Pitou, tout heureux de pouvoir épouser Clairette, maintenant qu’il est riche. Mais les gens de la Halle, ne l’entendent pas ainsi : ils veulent écouter la chanson. Clairette, sachant que si elle la chante elle ira en prison et donc ne se mariera pas avec Pomponnet, entonne le refrain célèbre :


Barras est roi, Lange est sa reine
C’n’était pas la peine (bis)
Non pas la peine, assurément
De changer de gouvernement !

 

Pomponnet, qui ne veut pas que sa future aille en prison, tente de faire croire qu’il est l’auteur de ladite chanson mais Clairette est conduite en prison, comme elle le voulait.

 

Acte II


Dans le salon de mademoiselle Lange, Larivaudière raconte l'incident à un auditoire de Merveilleuses. Mademoiselle Lange congédie tout le monde car elle a organisé une réunion secrète de conspiration contre le Régime. En attendant, elle décide d'entendre son perruquier (Pomponnet) venu plaider l'innocence de sa future. Clairette et Ange Pitou sont venus également la voir. En Clairette, mademoiselle Lange reconnaît une camarade d'enfance, quant à Ange Pitou, ils comprennent rapidement qu'ils sont attirés l'un par l'autre. Le duo est interrompu par Larivaudière et Louchard qui veulent arrêter le véritable auteur de la chanson, mais c'est Pomponnet qui entre avec le texte et qui est arrêté.

Les conspirateurs arrivent, mais la demeure est vite cernée par les soldats du général Augereau. Mademoiselle Lange, avertie par Clairette, improvise un bal de noces où les deux futurs sont Clairette et Ange Pitou, très heureux de jouer ce rôle.

 

Acte III


Dans le jardin d'une guinguette de Belleville, Clairette déguisée en poissarde, va ouvrir les yeux à Larivaudière et Pomponnet en tendant un piège à Mlle Lange et Ange Pitou, car elle a compris qu'ils la trompaient; leur écrivant à tous les deux une lettre et se faisant passer pour l'un auprès de l'autre, elle parvient à les faire venir tous deux pour un rendez-vous galant à Beleville. Mais, une fois les deux amoureux surpris au grand jour, Clairette accepte finalement la main de Pomponnet et Ange Pitou se résigne à attendre, persuadé que Clairette ne sera pas plus vertueuse que sa légendaire mère !


 

 

Biographie Compositeur

Charles Lecocq


Charles Lecocq est un compositeur français d'opérettes, opéras-bouffes et opéras-comiques, né le 3 juin 1832 à Paris où il est mort le 24 octobre1918. Né d'une famille pauvre, il fut atteint dès son enfance d'une infirmité qui l'obligea à porter des béquilles toute sa vie. Il étudia au Conservatoire de Paris, en même temps que Georges Bizet, auprès d'Halévy et de François Bazin. Il aborda le genre de l'opérette à l'occasion d'un concours organisé en 1856 par Offenbach, dont il remporta le 1er prix ex æquo avec Bizet. Ceci détermina sa carrière, qu’il consacra dès lors à ce genre léger et divertissant alors très à la mode. Il obtint son plus grand succès en 1872 avec La Fille de Mme Angot qui reste aujourd’hui une des œuvres les plus représentées du répertoire lyrique.


Œuvres


  • 1857 : Le Docteur Miracle, livret de Léon Battu et Ludovic Halévy, Bouffes-Parisiens, Paris

  • 1859 : Huis-Clos, livret de Adolphe Guénée et E. Marquet , Folies-Nouvelles, Paris

  • 1864 : Le Baiser à la porte, livret de Jules de la Guette, Folies-Marigny, Paris

  • 1864 : Liline et Valentin, livret de Jules de la Guette, Folies-Marigny

  • 1866 : Le Myosotis, livret de A. de Noé et William Busnach, Palais-Royal, Paris

  • 1866 : Les Ondines au champagne, livret de Hippolyte Lefebvre, Jules Pélissié (Victorien Sardou) et Merle, Folies-Marigny

  • 1867 : Le Cabaret de Ramponneau, livret de Jules Le Sire et Amédée Boudin, Paris, Folies-Marigny

  • 1868 : L'Amour et son carquois, livret de A.J.R. Delbès et E. Marquet , Paris, Athénée-Comique, Paris

  • 1868 : Les Jumeaux de Bergame, livret de William Busnach, Paris, Athénée-Comique

  • 1868 : Le Carnaval d'un merle blanc, livret de Henri Chivot et Alfred Duru, Palais-Royal

  • 1868 : Fleur-de-thé, livret de Henri Chivot et Alfred Duru, Paris, Athénée-Comique

  • 1869 : Gandolfo, livret de Henri Chivot et Alfred Duru, Bouffes-Parisiens

  • 1869 : Deux portières pour un cordon, livret de Lucian et Hippolyte Lefebvre, Palais-Royal

  • 1869 : Le Rajah de Mysore, livret de Henri Chivot et Alfred Duru, , Bouffes-Parisiens

  • 1870 : Le Beau Dunois, livret de Henri Chivot et Alfred Duru, , Variétés, Paris

  • 1871 : Le Testament de M. de Crac, livret de Jules Moinaux, Bouffes-Parisiens

  • 1871 : Le Barbier de Trouville, livret de Adolphe Jaime fils et Jules Noriac, Bouffes-Parisiens

  • 1871 : Sauvons la caisse, livret de Jules de la Guette, Tertulia, Paris

  • 1872 : Les Cent Vierges, livret de Clairville, Henri Chivot et Alfred Duru, Fantaisies-Parisiennes, Bruxelles, puis Variétés, Paris

  • 1872 : La Fille de Mme Angot, livret de Louis-François Clairville, Victor Koning et Paul Siraudin, Fantaisies-Parisiennes, Bruxelles puis Folies-Dramatiques, Paris (1873)

  • 1873 : Le Fils de Mme Angot, livret de G. Dorfeuil, Gaîté-Montparnasse, Paris

  • 1874 : La Résurrection de la mère Angot, livret de Louis-François Clairville, Folies-Dramatiques

  • 1874 : Giroflé-Girofla, livret de Eugène Leterrier et Albert Vanloo, Fantaisies-Parisiennes, Bruxelles puis Renaissance, Paris

  • 1874 : Les Prés Saint-Gervais, livret de Victorien Sardou et Philippe Gille, Variétés

  • 1875 : La Petite Mariée, livret de Eugène Leterrier et Albert Vanloo, Renaissance

  • 1875 : Le Pompon, livret de Henri Chivot et Alfred Duru, , Folies-Dramatiques

  • 1876 : Kosiki, livret de William Busnach et Armand Liorat, Renaissance

  • 1877 : La Marjolaine, livret de Eugène Leterrier et Albert Vanloo, Renaissance

  • 1878 : La Camargo, livret de Eugène Leterrier et Albert Vanloo, Renaissance

  • 1878 : Le Petit Duc, livret de Henri Meilhac et Ludovic Halévy, Renaissance

  • 1879 : La Petite Mademoiselle, livret de Henri Meilhac et Ludovic Halévy, Renaissance

  • 1879 : Le Grand Casimir, livret de Jules Prével et Albert de Saint-Albin, Variétés

  • 1879 : La Jolie Persane, livret de Eugène Leterrier et Albert Vanloo, Renaissance

  • 1880 : L'Arbre de Noël avec Georges Jacobi, livret de Arnold Mortier, Eugène Leterrier et Albert Vanloo, Porte Saint-Martin, Paris

  • 1881 : Janot, livret de Henri Meilhac et Ludovic Halévy, Renaissance

  • 1881 : La Roussotte avec Hervé et Marius Boulard, livret de Albert Millaud, Henri Meilhac et Ludovic Halévy, Variétés

  • 1881: Le Jour et la Nuit, , livret de Eugène Leterrier et Albert Vanloo, Nouveautés, Paris

  • 1882 : Le Cœur et la Main, livret de Charles Nuitter et Alexandre Beaume, Nouveautés

  • 1883 : La Princesse des Canaries, livret de Henri Chivot et Alfred Duru, , Folies-Dramatiques

  • 1884 : L'Oiseau bleu, livret de Henri Chivot et Alfred Duru, Nouveautés

  • 1885 : La Vie mondaine, livret de Émile de Najac et Paul Ferrier, Nouveautés

  • 1886 : Plutus, livret de Albert Millaud et Gaston Jollivet, Opéra-Comique, Paris

  • 1887 : Les Grenadiers de Mont-Cornette, livret de Louis Péricaud, Lucien Delormel et Édouard Philippe, Bouffes-Parisiens

  • 1887 : Ali-Baba, livret de Albert Vanloo et William Busnach, Alhambra, Bruxelles puis Éden-Concert, Paris (1889)

  • 1888 : La Volière, livret de Charles Nuitter et Alexandre Beaume, Nouveautés

  • 1890 : L'Égyptienne, livret de Henri Chivot, Charles Nuitter et Alexandre Beaume, Folies-Dramatiques

  • 1894 : Nos bons chasseurs, livret de Paul Bilhaud et Michel Carré, Nouveau-Théâtre, Paris

  • 1896 : Ninette, livret de Charles Clairville fils, Ch. Hubert , G. Lebeaut et Ch. de Trogoff, Bouffes-Parisiens

  • 1897 : Ruse d'amour, livret de Stéphane Bordèse, Bodinière, Paris

  • 1898 : Barbe-Bleue, livret de R. de Saint-Geniès, Olympia, Paris

  • 1900 : La Belle au bois dormant, livret de Georges Duval et Albert Vanloo, Bouffes-Parisiens

  • 1903 : Yetta, livret de Fernand Beissier, Galeries Saint-Hubert, Bruxelles

  • 1904 : Rose-Mousse, livret de André Alexandre et Peter Carin, Capucines, Paris

  • 1905 : La Salutiste, livret de Fernand Beissier, Capucines

  • 1910 : La Trahison de Pan, livret de Stéphane Bordèse, théâtre du Cercle, Aix-les-Bains

  • 1914 : Miousic avec Rodolphe Berger, Charles Cuvillier, Jules Erlanger, Henri Hirchmann, Louis Lecombe, Xavier Leroux, André Messager, Willy Redstone et Paul Vidal, livret de Paul Ferrier, Olympia, Paris

 

Non-représentés


  • Le Chevrier, livret de Charles Narrey et Michel Carré

  • Don Japhet d'Arménie, livret de Guillot de Saix et Michel Carré

  • Los Picaros

  • Ma cousine d'après Scarron

  • Renza

 

Liens externes


 

 

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Biographie Librettiste

Clairville / Paul Siraudin / Victor Koning


Louis-François Nicolaïe, dit Clairville est un comédien, poète, chansonnier, goguettier et auteur dramatique français, né à Lyon le 28 janvier 1811 et mort à Paris le 8 ou le 9 février 1879.

 

Biographie


Fils d’un régisseur de théâtre lyonnais connu sous le pseudonyme de Clairville, il débute à Paris au Petit Théâtre du Luxembourg comme acteur, puis comme régisseur, et enfin comme auteur de textes dramatiques. Il y fait représenter une quarantaine de pièces. Il s’introduit ensuite au théâtre de l’Ambigu-Comique pour jouer les « utilités ». Mais, pour lui, c’était le lieu idéal pour développer sa verve d’auteur dramatique qui fut sa seule vraie vocation. Son imagination débridée, sa facilité de versification qui reste fluide, mais aussi son souci constant de perfection vont faire merveille. Il conçoit d’abord une revue intitulée 1836 dans la lune, dont le succès va le lancer dans le métier. Il voit tous les « petits » théâtres s’ouvrir : le Beaumarchais, la Gaîté, le Gymnase, les Variétés, les Divertissements. Son pouvoir de création semble illimité avec pièces drôles, pièces sérieuses, revues, féeries, satires et parodies :

Le Page et la Danseuse, Rosière et Nourrice, Jean Lepingre et Pierre Lelarge, Les Hussards et les Lingères, La Journée aux éventails, L’Opium et le Champagne, Les Iroquois, Satan, ou le Diable à Paris
Peau d’âne, Les Sept Châteaux du Diable (féeries)
Les Pommes de terre malades (revue)
La propriété, c’est du vol (satire composée après la révolution de février).

On lui attribue sûrement au moins 230 pièces diverses dont 50 ont atteint cent représentations suivies. Mais on est loin du compte puisqu’on trouvera après sa mort nombre d’œuvres inédites[4]. Il peut être considéré comme l’« Alexandre Dumas du vaudeville ». Sa production fut le fruit d’une véritable industrie. Pour davantage d’efficacité, il s’était adjoint depuis le début le concours du fidèle Édouard Miot. Le groupe de ses collaborateurs, triés sur le volet, grossira avec le temps des succès[5]. Rien de l’actualité ne leur échappe et ils ont la même source d’inspiration que nos chansonniers et le même sens des titres accrocheurs :

La Chaleur ; Les Français peints par eux-mêmes ; Les Petites Misères de la vie humaine ; Paris et la Banlieue ; Paris sans impôts ; Paris voleur ; Paris dans la comète ; Les Sept Billets, ou la Semaine aux échéances ; Une semaine à Londres ; Les Nains du roi ; Le Congrès de la paix

Il collabora avec d’autres auteurs [6] pour toutes sortes de spectacles et notamment avec des librettistes pour des opéras-comiques que nous nommons aujourd’hui opérettes :

Daphnis et Chloé de Jacques Offenbach, en collaboration avec Jules Cordier (1860)
La Fille de madame Angot de Charles Lecocq avec Paul Siraudin et Victor Koning (1872)
Les Cent Vierges de Charles Lecocq (1873)
Les Cloches de Corneville de Robert Planquette (1877)

Clairville a été un membre actif et remarqué de la quatrième Société du Caveau, dont il a été président en 1871.

« Clarville ne compose pas, il confectionne... sorte de friperie littéraire, où l’on rhabille à neuf les vieux mots râpés et les calembours ensevelis », écrivait Henri Rochefort ; mais il ajoutait : « pas une mesure administrative, pas une annonce bizarre, pas une invention nouvelle que M. Clarville n’ait mise en scénario ou tournée en couplets. C’est l’homme de la revue et de la parodie par excellence. »

En 1853, il publie Chansons et Poésies, recueil de rimes, allant de l’égrillard des chansons, « qui se chantent au dessert » selon Albert Blanquet[7], à la simplicité touchante des poésies. Il reçoit la croix de chevalier de la Légion d'honneur en 1857.

En 1870, il écrit la chanson Les deux Canailles[8], en réponse à la chanson d'Alexis Bouvier La Canaille. En 1871, il écrit au moins deux chansons anti-communardes : L'Internationale[9], où il donne sa vision de l'Internationale ouvrière comme un regroupement de brigands, et La Commune[10], où il appelle au massacre des Communards.

Clairville est le père du compositeur Édouard-François Clairville dit Clairville fils (18.. - 1904) et l'oncle du dramaturge et librettiste Charles Clairville (1855-1918).

 

Notes


  1. ↑ « Courrier des théâtres [archive] », Le Figaro, 9 février 1879, pp. 3-4.

  2. ↑ « Nécrologie [archive] », Le Temps, 10 février 1879, pp. 2-3.

  3. ↑ « Mort de Clairville » [archive] Le Petit Parisien, 10 février 1879, pp. 2-3.

  4. ↑ « L’homme aux cartons inépuisables » disait Arnold Mortier dans ses Soirées parisiennes 1874-1884 ; peut-être certaines furent-elles contrefaites.

  5. ↑ Parmi eux : Dumanoir, Dennery, Nicot et Cordier.

  6. ↑ Dont les frères Cogniard, Lambert-Thiboust, Paul Siraudin, Victor Koning, Henri Chivot et Alfred Duru, Édouard Plouvier, Alfred Dartigue-Delacour.

  7. ↑ dans l’ouvrage collectif de Hoefer

  8. ↑ Clairville, Les Deux Canailles [archive], Le Caveau 1871.

  9. ↑ Clairville, L'Internationale [archive], Le Caveau 1872.

  10. ↑ Clairville, La Commune [archive], Le Caveau 1872.


Sources


  • Hoefer, Nouvelle biographie générale, t.10
  • William Duckett, Dictionnaire de la conversation et de la lecture, 1853
  • Adolphe Bitard, Dictionnaire biographique, 1878

 

 

Paul Siraudin


 

Paul Siraudin est un auteur dramatique et librettiste français, né à Paris le 18 décembre 1813 et mort à Enghien-les-Bains le 8 septembre 1883. Ses pseudonymes furent Paul de Siraudin de Sancy, Paul Siraudin de Sancy et M. Malperché.

On lui doit des pièces de théâtre, surtout des comédies et des vaudevilles, et des livrets d'opérettes ou d'opéras-comiques à succès, parmi lesquelles La Fille de Mme Angot (1872) de Charles Lecocq qu'il écrivit en collaboration avec Clairville et Victor Koning.


  • 1842 : La Vendetta de Philippe-François Dumanoir et Paul Siraudin, Théâtre des Variétés
  • 1850 : Le Courrier de Lyon d'Émile Moreau, Paul Siraudin et Alfred Delacour, Théâtre de la Gaîté
  • 1852 : Le Misanthrope et l'Auvergnat d'Eugène Labiche, Paul Siraudin et Lubize, Théâtre du Palais-Royal
  • 1853 : Le Bourreau des crânes de Paul Siraudin et Édouard Lafargue, Théâtre du Palais-Royal
  • 1855 : Un bal d'auvergnats de Paul Siraudin, Alfred Delacour et Lambert-Thiboust, Théâtre du Palais-Royal
  • 1856 : La Queue de la poële de Paul Siraudin et Alfred Delacour, Théâtre du Palais-Royal
  • 1858 : Le Fils de la belle au bois dormant de Lambert-Thiboust, Paul Siraudin et Adolphe Choler, Théâtre du Palais-Royal
  • 1860 : La Pénélope normande d'Alphonse Karr, Paul Siraudin et Lambert-Thiboust, Théâtre du Vaudeville
  • 1860 : La Pénélope à la mode de Caen d'Eugène Grangé, Paul Siraudin et Lambert-Thiboust, Théâtre du Palais-Royal
  • 1860 : La Fille du diable de Clairville, Paul Siraudin et Lambert-Thiboust, Théâtre des Variétés
  • 1864 : Les Femmes sérieuses de Paul Siraudin, Alfred Delacour et Ernest Blum, Théâtre du Palais-Royal
  • 1869 : Le Mot de la fin de Clairville et Paul Siraudin, Théâtre des Variétés
  • 1869 : Paris-Revue de Clairville, Paul Siraudin et William Busnach, Théâtre du Chatelet
  • 1872 : La Revue n'est pas au coin du quai de Paul Siraudin, Victor Koning et Clairville, Théâtre des Variétés
  • 1873 : La Fille de Mme Angot de Paul Siraudin, Clairville et Victor Koning, musique Charles Lecocq, Théâtre des Folies-Dramatiques
  • 1875 : La Revue à la vapeur de Paul Siraudin, Henri Blondeau et Hector Monréal, Théâtre des Variétés
  • 1884 : La Fille du diable de Clairville, Paul Siraudin et Lambert-Thiboust, Théâtre de l'Ambigu-Comique
  • 1885 : Le Courrier de Lyon d'Émile Moreau, Paul Siraudin et Alfred Delacour, Théâtre des Nations
  • 1898 : Le Tricorne enchanté de Théophile Gautier et Paul Siraudin, Comédie-Française
  • 1898 : La Fille de Mme Angot de Paul Siraudin, Clairville et Victor Koning, musique Charles Lecocq, Théâtre de la Gaîté-Lyrique
  • 1904 : La Fille de Mme Angot de Paul Siraudin, Clairville et Victor Koning, musique Charles Lecocq, Théâtre des Variétés
  • 1920 : Le Courrier de Lyon d'Émile Moreau, Paul Siraudin et Alfred Delacour, Théâtre de la Porte Saint-Martin
  • 1935 : Le Misanthrope et l'Auvergnat d'Eugène Labiche, Paul Siraudin et Lubize, mise en scène Charles Dullin, Théâtre de l'Atelier
  • 1942 : Le Misanthrope et l'Auvergnat d'Eugène Labiche, Paul Siraudin et Lubize, Théâtre de l'Atelier

 

Victor Koning


Victor Koning est un auteur dramatique et librettiste français, né en 1842 et décédé en 1894. Il fut également directeur du théâtre de la Gaîté du 1eravril 1868 au 13 mars 1869 et du théâtre de la Renaissance de 1875 à 1882.

On lui doit des pièces de théâtre, surtout des comédies et des vaudevilles et des livrets d'opérettes à succès parmi lesquelles La Fille de madame Angot (1872) de Charles Lecocq qu'il écrivit en collaboration avec Clairville et Paul Siraudin.

  • 1872 : La Revue n'est pas au coin du quai de Paul Siraudin, Victor Koning et Clairville, Théâtre des Variétés
  • 1872 : La Cocotte aux œufs d'or de Clairville, Eugène Grangé et Victor Koning, Théâtre des Menus-Plaisirs
  • 1873 : La Fille de Mme Angot de Paul Siraudin, Clairville et Victor Koning, musique Charles Lecocq, Théâtre des Folies-Dramatiques

 

 

 

 

 

 

 

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La fille de madame Angot - Ecouter ici


Bernard Sinclair

Pierre Saugey

Jacques Loreau

Jean Bussard

Christiane Stutzmann

Mady Mesple

Charles Burles

Michel Roux

Denise Benoit

Conducted by Jean Doussard

Orchestre du Theatre National de L'opera-Comique